Meg Trowent

Nom :

Trowent. Ce qui est d’ailleurs assez comique parce que ça signifie tourbillon de vent... A croire que c’était le destin hein ? Enfin, du moins, c’est sûrement ce que penserait quelqu’un qui croit au destin, moi je n’y crois pas... Bref, c’est mon nom, et comme presque plus personne n’utilise la langue dont il est issue c’est pas plus mal. Mais j’aime autant le garder pour moi autant que je le peux.

Prénom :

Megara… Mes parents n’auraient pas pus choisir pire comme nom ! A chaque fois il fait pensé à Hercule et on me demande ou est mon cher et tendre super mâle… Remarque… Y’en a pas un qui s’est pas pris un bon coup de poing après m’avoir fait ce genre de remarque débile. Voilà, en gros Megara c’est mon prénom, et à défaut d’autre chose je le porte et interdit qu’on s’en moque.

Surnom :

Meg… Encore une fois on en revient à la même chose et je crois bien que je préfère encore être appelé par ce surnom là que par mon prénom complet. Même si il n’en reste pas moins insupportable à mes yeux…

Surnom :

Meg… Encore une fois on en revient à la même chose et je crois bien que je préfère encore être appelé par ce surnom là que par mon prénom complet. Même si il n’en reste pas moins insupportable à mes yeux…

Sexe :

Féminin… Je pense que ça se voit non ? Même si j’agis un peu comme un garçon manqué par certains moments, je reste une fille ! Et d’ailleurs, je fais tout pour que ça n’échappe à personne, quitte à mettre mes peu de formes en avant.

Age :

Mon age ? Tss… J’dois avoir dans les dix sept ans… Ouais, je sais pas plus que ça… Mes parents sont morts et apparemment je n’ai aucun acte de naissance… Va savoir pourquoi… Enfin c’est comme ça.

Date de naissance :

Aucune idée, mes parents ne m’ont jamais fêté mon anniversaire quand ils étaient vivants, et comme j’ai pas d’acte de naissance va savoir… Enfin, on a décidé de mettre mon anniversaire le premier Avril, jour où je suis arrivée à l’orphelinat à l’époque… Tsss, tu parles d’un cadeau tiens…

Nationnalité :

Bah d’après ce que je sais, enfin surtout ce qu’on m’a dit. Mon paternel est d’ici, c’est pour ça que j’ai toujours vécu par ici… Tssss… Mais ma mère était Française à ce qu’il parait… Personnellement je pourrait même pas dire à quoi ils ressemblent alors… Moi ? Lieu de naissance inconnu, alors on m’a collé de nationalité Japonaise pour arranger les choses.

Groupe sanguin :

Hein ? Alors la Qu’est-ce que je peux en savoir, on me l’a jamais vérifié moi… De toute façon j’ai jamais été à l’hosto alors j’vois pas pourquoi ni comment je pourrait le connaître…

Langues parlées :

Japonais et je baragouine un peu l’Anglais, même si j’ai jamais été très douée pour cette langues là… Je connais aussi quelques mots de Français… Sûrement avoir entendu ma mère les dires et ça m’est resté.

Couleur favoritte :

Le bleu… et le gris aussi… Ce sont mes deux couleurs favorites depuis aussi longtemps que ma mémoire remonte, mais me demander pas pourquoi, je serait absolument incapable de le dire. C’est comme ça et puis c’est tout…

Phoebie :

Les araignées… Bah oui quoi… J’suis une fille comme les autres… Ou presque. Je peux être forte et agressive, mais dès que mon regard se pose sur ses horreurs je me barre dans une terreur folle… Et y’a l’orage aussi… Ce qui peux parfois provoquer des situations assez cocasses…

Position dans laquelle elle dort :

Comment je dors ? Roulée en boule sur mon lit en serrant son oreiller tout contre moi… J’ai toujours le nez enfouit dans les profondeurs de mon oreiller, comme si il ne faisait jamais assez noir dans la chambre… C’est d’ailleurs ce que je pense vraiment… La nuit est encore trop lumineuse à mon goût…

Orientation sexuelle :

Bisexuelle... Mais bon, ça sert à rien de le dire, de toute façon l’amour ça n’est jamais réciproque et ça se contente de rendre les gens mal et triste. Ca me dégoûte.

Situation :

Célibataire. En effet, j’ai décidé de ne pas avoir de relation depuis ce qui s’est passer avec l’autre idiot avec qui j’ai fait l’erreur d’essayer de me lier.

Yeux :

Mes yeux ? Bah, ils sont plutôt occidentaux, je dois en tenir la forme de ma mère. Ils sont d’une couleur extrêmement sombre et entourée de longs cils encore rallongés par une pointe de mascara, d’un peu de fard noir et d’un trait de crayon.

Cheveux :

J’ai les cheveux longs, il lui arrive à peu près au niveau des omoplates. Leurs couleurs varient entre le gris très sombre et le noir et ils sont légèrement gras sans que cela soit moche ou autre. Par contre, cette masse de cheveux bruns est quasiment impossible à coiffer correctement.

Physionomie :

On me dit souvent que j’ai la peau super pâle. J’ai peu de formes féminines mais je fais toujours de mon mieux pour les mettre en évidence. Je suis assez svelte et musclée. Mes ongles sont toujours vernis de noir ou de bleu électrique. Sinon, j’ai les traits assez doux, ils ne correspondent pas vraiment à mon caractère. J'ai quelques cicatrices sur les bras... Pas bien dur de deviner d'où elle me vienne... Ou alors z'êtes vraiment stupide.

Style vestimentaire :

Je porte toujours des débardeurs, même en hiver, cherchez pas à savoir pourquoi mais je suis presque pas sensible au froid. La plupart de ms débardeurs n’ont qu’une bretelle, assez épaisse, mais tout de même. Je met aussi de temps à autre une mitaine, mais juste une sur le bras qui n’as pas de bretelle. Parfois je porte des jeans bien moulant ou alors des jupes plisser assez courte avec un minishort moulant en dessous. Enfin cela se termine par une paire de botte cuissarde. Pour ne pas faire comme tout le monde, je me couvre le dos avec une épaisse cape noire.

Description mentale :

Hn ? Bah on me dit franchement chiante parce que je suis jamais satisfaite… Ouais, ça, j’en doute pas. Je suis très susceptible, et avant même que l’ont puisse remarquer qu’on m’a vexé, on sent mon poing heurter avec violente sa mâchoire, je suis comme ça : je cogne et après je parle. La seule chose qui peut me calmer c’est de savourer la caresse du vent sur mon visage. Oui, je suis différente, j’en suis consciente. J’ai tuer mes parents, ça aussi je le sait… Pourtant je suis pas triste et je ne hais pas mon don pour autant… Etrange ? Ouais, peut être. Je suis extrêmement solitaire, mais aussi quelqu’un d’extrêmement lunatique qui peu passé d’un sentiment à un autre d’une seconde à l’autre. Je n’aime vraiment pas qu’on parle de moi ou qu’on se moque de moi, ça à tendance à me rendre assez violente.

Description en couple :

Hein? Je vous ait pas déjà dit que l’amour c’est jamais réciproque? Alors vous me voyez m’imaginez en couple en sachant que je le serait jamais ? Enfin, je suppose que je serais très possessive, et jalouse à un point inimaginable… Au point de ne pas pouvoir supporter d’être délaissé même pour des amis de longues dates, c’est comme ça. C’est comme ça… Pis, je crois aussi que j’aurais vraiment besoin de sentir qu’on m’aime… Enfin, de toute façon c’est pas comme si c’était vraiment important parce que bon, c’est pas comme si ça devait arriver un jour. De toute façon, je suis bien trop solitaire pour qu’on puisse tombé amoureux de moi alors bon… Je vis le moment présent et je vois comment ça se passe.

Comportement avec son entourage :

Pénible, froide, violente... Voilà les adjectifs qui reviennent le plus souvent à mon sujet. En fait, comme j’ai déjà dit, je suis extrêmement solitaire, je fais tout pour qu’on me laisse tranquille. Quand on m’oblige à rester avec les autres, je reste silencieuse et ne participe en rien aux activités. D’ailleurs, si on fait l’erreur de venir me parler, j’ai tendance à très vide rabrouer les gens, surtout quand on me parle de mon passé. En tout cas, quand quelqu’un insiste, ça a tendance à vite m’énerver et ça peut devenir très dangereux…
Quand je m’énerve, mieux vaux me laisser seul car dès qu’on essaie de m’aider à me calmer, ça a exactement l’effet inverse et m’énerve deux fois plus. Dresser des barrières contre le vents il les arrachera dit on parfois… c’est pas faut… Comme on peut le remarquer je suis pas du genre sociale… Peut être qu’au final c’est un peu parce que j’ai pas envie de mettre les gens qui sont autour de moi en danger…
Les jours où je suis assez calme, les jours où souffle un léger zéphyr, alors je suis un peu plus ouverte aux autres, mais vaux mieux se contenter de ma présence et de ne pas trop chercher mes paroles car elles n’arriveront pas très souvent. Mais bon, généralement, pour peu qu’on me lâche les basket sur mon prénom ou mon passé y’a pas de problème avec moi et du moment qu’on me fait pas chier les coups partirons pas.

Voix :

Histoire :

Mon premier souvenir me donne une impression bizarre, comme si ce n’était pas moi qui l’avait vécut… Tout ça parce que ce souvenir est entouré de brouillard et je ne suis jamais arrivé à les percés.

« JE VEUX PAS Y ALLER ! »

Une femme me tirait par le bras, je ne vois pas son visage, mais je sais que c’est ma mère. Un homme apparu alors à la porte, de même manière je ne voyais pas son visage, mais je savais que c’était mon père…

« Bon sang ! Chérie calme là ! Elle va pas tarder à se former il est trop tard pour descendre ! »

Ma mère était alors tombée à genoux devant moi et avait pris mes épaules entre ses mains avant de me secouer assez vivement.

« Calme toi Meg’ ! Tu dois pas faire ça tu m’entend ! Arête ! »

« J’peux pas ! »

Des larmes roulaient sur mes joues pales de gamine. Ma mère continuait à me secouer comme un prunier. On entendait le vent siffler dehors.

« Je t’ai dit d’arrêter ça ! »

« J’PEUX PAS !! »

Les murs commencèrent à tremblé violement sous le coup du vent qui soufflait avec une violence extrême. Mon père vint aussitôt près de moi avec une certaine violence il me giffla, me projetant ainsi au sol un peu plus loin.

« Arête ça je te dis ! »

« J’veux pas !! »

C’est la dernière chose dont je me souviens avant que je n’aille me réfugier dans un placard. J’ai passer je ne sais pas combien de temps là dedans. Mais, je suis persuadée d’avoir entendu le vent me dire que je ne risquais rien. Oui, vous pouvez me traiter de folle, mais je suis persuadée que le vent m’a parler et que c’est ce qu’il m’a dit. Après…. Euh… Je crois bien que je me suis endormit après ça…



« Ey ! Petite ! Qu’est-ce que tu fais là ? »

« Je sais pas… La tempête a emmené mes parents au loin… Elle m’a dit que c’était pour mon bien… »

« Qui t’as dit ça ? »

« La tempête voyons. »

« Pardon ma chérie ? »

Je leva alors les yeux vers celui qui me parlait. C’était un homme assez grand et au visage sombre. Je ne pris même pas la peine de lui répondre, à quoi bon… Il ne comprendrait pas. L’homme se pencha alors vers elle.

« Mais qui sont tes parents ma cherie ? »

« Les Trowent… Et je m’appelle Megara, pas ma chérie… »

« Euh… Ouis, et bien, si tu veux… Et tu dis qu’ils ont été emportés par la tornade ? »

« C’est ce que j’ai dit oui… »

Mon instinct me disait de ne pas dire que selon mes parents cette tornade était à cause de moi… De toute façon, avec ce que j’avais déjà dit, il était persuadé que voir mes parents emporter m’avait rendu folle. Il se pencha vers moi et m’aida à me relever.

« Dans ce cas viens ma c… »

« MEGARA ! »

« D’accord, d’accord… Viens avec moi Megara, je vais t’emmener dans un endroit sur en attendant de retrouver tes parents… »

Et je le suivis… Je savais qu’ils ne trouveraient pas mes parents… Je savait que si ils le faisaient ce ne seraient que leur cadavre… Mes parents étaient morts à cause de ce que je suis capable de faire… Pourtant, je ne me souviens pas d’avoir souffert de ça… Même à cette époque ou j’avait à peine trois ans.

Une heure plus tard, j’étais placé dans un orphelinat… Enfin un truc comme ça quoi… Mais ne me demandait pas qui j’y aie côtoyé… Enfin… Je me souviens que d’une seule personne de toute façon… C’est le seul avec qui je suis resté plus d’une heure… Il s’appelait… Rah ! Rien que de penser à lui ça me rend malade ! Bref, ce crétin finit portait le prénom de Kironian. Je me souviens vaguement du jour où il s’est incrusté dans ma vie… Comme d’habitude, les autres gosses jouaient, et moi je m’était juste perchée, assise sur un arbre, il est monté sur une branche au dessus de moi et c’est perché devant moi à l’envers en me regardant avec un sourire que j’ai aussitôt trouvé niais.

« Salut ! Pourquoi tu restes à l’écart des autres ? »

« Toi t’es nouveau… Parce que je le fais… Maintenant dégage de là avant que tu te casses la gueule… »

« Quoi ? Tu veux me poussez ? Tu crois pouvoir ? »

« C’est pas vraiment ça, c’est… Oh pis laisse tomber, tu comprendrais pas ! »

« Si tu l’dis… Kironian et toi ? »

« Qu’est-ce que ça peut te faire ? »

« J’aime juste savoir à qui je parle… »

« … Megara… »

Ce dont j’étais loin de me douter c’est qu’après ce jour il allait passer mon temps à me coller. Et le pire je crois c’est que je me suis attacher à lui… J’en étais même tombé amoureuse de ce crétin. Quoi qu’il en soit, le centre nous laissait des temps libre de temps à autre… C’est comme ça qu’en faisant le con sur un pont à moitié en ruine, Kironian avait glissé et s’était retrouvé en train de chuter dans un précipice. Aussitôt je m’était lever du rebord et m’était pencher loin au dessus du bord… Si je ne pouvais rien faire il s’écraserait au bas de la falaise et mourrait ! Je m’étais un peu amusé avec le vent mais… Oh et puis zut, j’avais fermé les yeux, terrifiée et la main tendu dans le vide… Aussitôt un fort courant ascendant se forma dans le précipice et il s’accrocha à ma main. Je le tint alors solidement et le fit remonter sur le pont.

Quand il eut à nouveau ses deux pieds sur le pont il me relâcha vivement la main et s’éloigna d’un bond complètement terrifié. Moi, je le regardais d’un œil vide… Je savais déjà que tout était perdu… Une personne comme moi n’aurait jamais dû vivre…

« Co…comment t’as fais ça ? »

« Comment j’ai fait fais quoi ? »

« Me prend pas pour un con Meg ! C’est toi qui as créé ce courant ascendant ! Comment t’as fais ? »

« ‘Sais pas… Je l’ai fait c’est tout… »

« Tu… T’es… Alors la tornade qui a tué tes parents c’est… C’est toi qui as butté ta famille ! »

J’eut un léger frisson et je sentis mes cheveux se hérisser sur ma nuque alors qu’un vent glacé se levait autour de nous. Un vent digne de ceux de l’arctique. Mon regard vide était toujours sur Kiro.

« On peux pas dire que ce soit faux… »

« T’es qu’un sale monstre! Tu me dégoûtes ! T’approche plus jamais de moi ! »

« C’est toi qui m’a toujours collé pas moi… Si tu veux que je reste loin de toi pas de problème mais jure moi d’en parler à personne… »

« Je… Ok… Mais reste loin de moi… »

« Ok… De toute façon si tu en parles crois moi je te ferais regretter de ne pas être au fond de ce précipice. »

Et sans attendre, j’étais repartit… J’était rentrer au centre pour reprendre ma misérable petite vie de tout les jours.



« Mademoiselle Trowent ? »

En baissant les yeux je vit la psychologue du centre, avec un soupire j’avais sauter au bas de mon perchoir et je l’avait regarder droit dans les yeux avant de grogner.

« J’vous ait déjà dit de m’appeler Megara ! Qu’est-ce que vous me voulez ? »

« Te voir dans mon bureau… Tout de suite. »

Je l’avais vu reculée d’un pas et c’est avec un soupire las que je l’ai suivit jusqu’à son bureau où je me suis laisser tombé sur une chaise en face de son bureau. Je savais que la pièce était insonorisée. La vieille femme replète paraissait nerveuse et je fronçait doucement un sourcil…

« Alors ? Qu’est-ce que vous me voulez ? »

« Voilà, votre ami Kironian m’as parler de ce qui s’était passer et… »

« Il a parler ! Le sale cafard je vais le… »

Je m’étais levé d’un bond et la femme tapa du poing sur la table. Je la défia un moment du regard puis finit par me rasseoir en croisant les bras… Dehors, le vent s’était levé.

« Innutile de vous donner cette peine, il n’a plus qu’un an à vivre. Il a un cancer.

Je ne réagis même pas. C’était pour ça qu’il avait parlé. Il n’en avait plus que pour un an à vivre alors il ne tenait pas à la vie ? Pitoyable ! Les bras toujours croisés je la regardais encore et toujours. De quoi allait elle me parler maintenant ?

« Je ne t’ai pas fait venir pour parler de lui. »

« Je m’en doute »

« Ce qui s’est passez… La façon dont on t’a trouver… Les coïncidences des fortes bourrasques et de tes colères… Je crois que c’est clair maintenant… »

« Et ? Vous allez vendre le monstre à un cirque ? »

« Arête tes conneries ! J’ai fais des recherches et il y a un endroit où ils pourront mieux s’occupé de ton cas que nous ici. »

« Vous voulez vous débarrasser de moi ? Et bas allez y ! Remplissez les vos papier… »

« C’est déjà fait... Va faire ton sac… Tu pars demain. »

« T’en mieux… Ca pus trop ici ! »

J’était sortit du bureau en claquant violement la porte derrière moi et était en effet allez faire mon sac. Le lendemain en allant à la voiture qui devait m’emmener mon chemin croisa Kironian.

« Arête d’être contradictoire. »

« Désolé… »

«La fin justifie les moyens crève en paix on se verra plus…

Et sans lui laisser le temps de répliquer j’étais partie… Une nouvelle vie s’offrait à moi hein ? Tss connerie. Comme à la mort de mes parents, comme quand je l’avait perdu, je ne versait pas une larme en voyant s’éloignée ma maison. Je crois bien n’avoir jamais pleurer…



Enfin, j’arrive au centre donc ma parler la psychologue… On me questionne pour remplir mon dossier et je réponds, les bras croisé et d’une voix assez monocorde. Finalement, on me fait visité cet endroit. On me dit où sera ma chambre et je hoche silencieusement la tête. On me parle des règles, mais je n’écoute pas. J’ai la tête ailleurs. Puis je vais rejoindre les autres. Je sais que je dois garder mes pouvoirs pour moi. Un garçon vient vers moi avec un regard que je n’apprécie pas. Il me fait des avances, je plisse les yeux et un moment plus tard je le soulève par les parties intimes en lui arrachant un cri de douleur.

« Pas intéressé… Dégage maintenant. »

Une fois au sol il s’écroula… Bon ok… Ma première journée ici je la commençait fort… Au moins les choses étaient réglées… Puis, je fila bientôt vers une fenêtre et je l’ouvrit, me foutant pas mal de ce que pensait les autres.

« Tu peux au moins nous dire ton nom ! »

« Megara Torwent »

A leurs autres questions, elle n’avait rien dit, les ignorant superbement… Son sac était sur sous son lit, et elle ne voulait pas encore le défaire, manque de confiance, si on le touchait, elle le verrait. Voilà sa nouvelle vie de « monstre » qui commençait.

Merci...
Je ferait de mon mieux...

Bienvenue sur le forum (je tenais à te le dire tout de même) ^^
Belle fiche ♥

Merci